Comme vous le savez en France la semaine dernière un policier à tuer Nahel, un jeune de 17 ans issu des quartiers de Nanterre.
Dans un climat politico-social tendu depuis des mois en France, la mort de ce gamin dont on cherche absolument à salir la mémoire afin de ne pas l’élever en martyr, c’est le ciel, la terre et la mer qui se déchirent dans la tête et le cœur des gens.
C’est du sang, de la sueur et des larmes qui disent assez ! C’est une mère qui doit enterrer son fils, qui fait tout pour que cela ne se passe pas dans l’indifférence générale et surtout pas dans la récupération de la classe politique qui a eu tôt fait de retourner sa veste lorsque les émeutes ont commencé.
Et qui pour certains ont, dit-on, eu l’indécence et le mauvais goût de contribuer à la cagnotte de soutien pour la famille du policier qui a abattu Nahel à bout portant. Cagnotte qui d’ailleurs est devenu la plus populaire du pays sur la plateforme GoFundme avec plus de 900’000 € collectés au moment où je vous parle.
Alors que celle pour soutenir la famille de Nahel sur le site Litchi n’atteint pas le un dixième de ce montant. Joli message de la classe politique et polémiste de droite qui vient d’établir ce qui constitue pour moi « une prime de risque » à l’assassinat. On se croirait presque dans un film de mafieux où il est convenu que si l’un d’entre eux va en prison, sa famille sera « bien prise en charge. »
Alors un appel a été lancé et la France y a répondu, il y a de la casse, des magasins sont pillés, des voitures sont brûlées. Le peuple est en colère et l’exprime avec ferveur, fureur et violence.
Tout le monde dit que ça ne sert à rien, que c’est encore les plus petits qui vont payer les pots cassés, que ce n’est pas un moyen de se faire entendre.
A ces gens-là je réponds « très bien et donc vous vous proposez quoi ? »
Dénoncer les policiers ? Très bien. Quelqu’un sait-il me dire combien d’entre eux ont été mis sous enquête ? Suspendus ? Inculpés ? Jugés ?
La réponse est trop peu… Et alors que depuis l’activation du plan Vigipirate, on a de cesse de croiser toujours plus d’hommes en uniforme et armés en France… on ne peut que crier haut et fort : « police partout, justice nulle part. »
C’est quoi le lien avec le plan Vigipirate ? C’est simple, cela a légitimé l’occupation omniprésente à grande échelle des forces de l’ordre (au sens large du terme) dans l’espace public. Le tout sans grande forme de contrôle ni restreinte. Et si vous ajoutez à ça la modification de la loi de 2017 concernant la sécurité publique. C’est bien simple, il est bien là, le cocktail molotov de l’État !
Et avec des personnages tel qu’Emmanuel Macron au pouvoir, qui est d’un égo et d’un mépris sans bornes. On est en droit de se demander si finalement la violence policière n’est pas comme l’usage de l’article 49.3 dans sa politique.
Que cela plaise ou non, que cela soit nécessaire ou non, que cela soit pertinent ou non, que cela soit à l’encontre de la volonté du peuple qui l’a élu ou non… On ne cède rien et on n’hésitera pas à user de la force.
Alors oui, le peuple de France se soulève dans la violence parce que c’est là, la seule manière qu’il a de se faire entendre face à celle qui lui est imposée tous les jours dans tous les espaces dans lequel il existe et où ses droits sont bafoués.
Alors non, je ne vais pas chouiner parce qu’on a pillé le magasin d’une enseigne du luxe, non je ne vais pas chialer parce que le fastfood d’une chaîne international a été fracassé… et certes dans l’absolu j’espère que les échoppes des petits commerçants seront si possible épargnées.
Toutefois, ce qui est absolu, c’est que Nahel est mort. Et que lui, pour le coup il est irremplaçable.
Connu sous le nom d’Indexia Group et propriétaire des magasins « Hubside Store » en France, ce courtier en assurances pour smartphones et tablettes est surtout réputé pour avoir enrichi de 2 milliards d’euros son propriétaire, de manière fourbe et obscène.
Comment s’y est-il pris ? De manière très simple, en vendant des assurances sur un bien de consommation qui gagne de plus en plus de terrain depuis plus de 10 ans, les appareils électroniques de divertissements et communications.
Le principe est simple, vous achetez un téléphone auprès d’un magasin de téléphonie ou d’électronique et au moment de la vente, on vous propose d’assurer ce dernier pour une somme d’environ CHF 20.- par mois.
Au premier abord, rien d’anormal me direz-vous. Mais alors, quel est le problème ?
Eh bien si au départ vous êtes bien prélevé de la somme convenue, vous serez par la suite ponctionné à de multiples reprises dans le même mois, puis de sommes toujours plus importantes et par différents organismes appartenant tous au même groupe.
Le tout naturellement, sans en avoir été notifié aux préalables, telle que pourtant l’exige la loi.
Dans ce cas, il suffit de résilier me direz-vous ! Et bien c’est là toute l’astuce ! C’est un véritable parcours du combattant car vous serez baladé de service client en service client au sein des entités du groupe et c’est alors une guerre d’usure qui se met en place. Et majoritairement, ce sont les clients qui s’épuisent et lâchent l’affaire à moins qu’ils s’engagent dans une bataille judiciaire.
Vous lisez sans doute ces lignes en vous disant sans doute : « comment une telle arnaque peut-elle durer si longtemps, sans que personne ne soit au courant ? »
Parce que la SFAM n’a pas pignon sur rue et que c’est par les magasins FNAC qu’elle a réussi à s’implanter en Suisse. Alors je vous pose la question, si vous achetez le téléphone et contractez l’assurance à la FNAC. Quel sera votre premier réflexe ? Vous adressez à la FNAC ou avec l’assureur que vous ne connaissez pas ?
Je précise qu’à l’heure actuelle, la FNAC dit ne plus travailler avec ce courtier (du moins selon un employé du service client). Néanmoins, cette dernière aura largement bénéficié de ce partenariat puisqu’elle a touché de larges commissions.
De plus, information qui est loin d’être anecdotique, le propriétaire d’Indexia Group détient 11% des actions du groupe FNAC qui compte parmi ses marques les enseignes comme « Darty » ainsi que « Nature & Découvertes », ce qui en fait donc l’actionnaire nr. 2 du groupe.
On ne saurait donc que recommandé aux résidents suisses de faire preuve de méfiance à l’égard de la FNAC et plus particulièrement des services et autres assurances qu’elle vous propose en dehors des autres produits « culturels » qu’elle propose.
Ce d’autant plus qu’Indexia Group a déjà écopé d’une amende de 10 millions d’euros en 2019 pour pratique commerciale frauduleuse et qu’une nouvelle enquête a été transmise au procureur de la République de Paris… et qu’il ne serait donc guère surprenant que ce groupe se retrouve prochainement, à nouveau sur le banc des accusés.
Dès lors, si vous avez contracté une assurance à la FNAC à l’achat d’un de vos appareils multimédias, je ne saurais que trop vous recommander de vérifier vos relevés de comptes depuis la date de souscription… il est probable que vous vous faites également partie des personnes préjudiciées.
Comme vous le savez si vous traînez sur les réseaux sociaux, la nouvelle année s’accompagne souvent de cette caption « New year, new me ! »
Perso, cette année j’ai décidé de laisser ce genre de connerie au placard. En ce qui me concerne, mes 365 jours vont se résumer à « moins j’en fais, mieux je me porte ».
Alors comprenons-nous bien, je ne vais pas m’enrouler dans ma couette et ne plus sortir de mon lit. Simplement, je vais rediriger mon énergie vers moi-même.
On me connaît comme quelqu’un qui répond toujours présent et disponible, je le serai toujours mais surtout pour moi-même.
Honnêtement, j’ai qu’une envie c’est de m’occuper de moi. Je suis dans une phase où je me rends compte que j’ai besoin de mon espace mentale, émotionnelle et cognitif avant tout pour bibi.
J’ai commencé l’année comme je l’ai terminée, c’est-à-dire « c-l-a-q-u-é-e » et au chômage.
Oui, oui, je suis actuellement « entre deux jobs » et non j’ai pas honte de le dire.
L’an dernier a été une vraie rollercoaster émotionnel au point où j’ai dû tirer un coup sec sur la prise pour pouvoir en sortir.
Primo, il y a eu le changement de responsable à mon dernier job où j’ai eu à supporter des comportements inqualifiables.
Deuxio, le licenciement « surprise » pour cause de perte de contrat de prestations.
Puis le post-licenciement où là encore, j’ai eu à faire face à un certificat de travail tendancieux malgré mes évaluations stellaires, les félicitations des RH et augmentation salaire.
Enfin, j’ai décidé d’accepter un CDD de 6 semaines dans une entreprise de renom de la région lausannoise où l’envers du décor était tellement délétère que ça a été le dernier clou dans le cercueil de ma santé mentale.
Autant dire que 2022, j’ai fait carton plein !
Après tout n’a pas été négatif n’ont plus, bien évidemment. Néanmoins, quand on nage en eaux troubles, que l’on est constamment en train de boire la tasse, on a plus de peine à totalement être dans le moment présent et à profiter de ses bonheurs furtifs.
Du coup, cette année, je porte un toast à votre santé !
Mais surtout à la mienne !
Bonne année 2023 mes petits canards ! ?
Soyez la meilleure version de vous-même, vous le méritez =)
Je tenais à prendre le temps d’écrire ces quelques lignes afin de vous faire part d’une nouvelle importante qui me tient particulièrement à cœur. C’est une annonce très personnelle et c’est une véritable lettre ouverte que je vous adresse.
En tant que femme, fille, sœur, amie, etc. j’ai toujours considéré que ma mission de vie est de m’assurer que mon entourage se sent aimé et soutenu quelles que soient les circonstances. Je suis là pour vous encourager dans la poursuite de vos rêves et de vos ambitions, je suis là aussi pour vous écouter et vous tenir la main lorsque vous êtes sujet au doute et à l’anxiété.
Être disponible et bienveillante est l’essence même de ma nature. C’est la raison pour laquelle beaucoup se tournent vers moi pour partager leurs joies, leurs peines, leurs challenges, leurs histoires de cœur, tout ce qui colore leurs quotidiens.
C’est avec beaucoup d’humilité, de respect et de reconnaissance que je souhaite vous remercier pour cette confiance que vous me témoignez.
Mon cheminement de foi évolue constamment, je ne me revendique d’aucun courant de pensée ni d’aucune « religion ». Ma vie spirituelle est simplement animée de ce qui parle à mon âme. Afin d’illustrer quelque peu mon propos, je peux aussi bien prier Saint-Antoine, que récité le mantra de la Tara verte, je tire des enseignements de la Bible comme de la mythologie grecque, etc.
Depuis plusieurs années, l’envie d’en faire davantage et d’accompagner mes proches de manière plus poussée m’habite.
J’ai assisté à des mariages en mairie où le « format » de la cérémonie était tellement convenu que cela ne laissait guère de place au couple pour autre chose que l’aspect légal de leur union. Quant aux mariages religieux, certains sont si drapés dans leur dimension solennelle qu’il s’en dégage une atmosphère de stress où les mariés ont parfois de la peine à exprimer toute l’étendue de leur sentiment et de l’amour qu’ils se portent car ils essayent avant tout de « bien faire ».
A notre époque, toujours plus de couples optent pour une cérémonie laïque pour différentes raisons. Que ce soit parce qu’ils veulent se marier dans un endroit rattaché à leur histoire, parce qu’ils souhaitent une cérémonie qui soit plus proche de leurs valeurs ou aussi et malheureusement parce qu’ils ne sont pas autorisés à s’unir dans un endroit « sacré ».
Tout ceci a donné naissance à beaucoup de réflexion et à une introspection nourrit. A l’issue de laquelle, en date du 14 juillet 2021, j’ai été ordonnée. Pour ce faire, je suis passée une congrégation légalement habilitée à délivrer des ordinations et avec laquelle mes valeurs sont alignées.
A savoir « de ne faire que ce qui est juste » et que « chaque individu est libre de pratiquer sa religion de la manière de son choix, (…) ».
Cette ordination me confère le prédicat de révérende et me permet d’officier entre autres, des unions laïques. Et c’est sur cet aspect de mon prédicat que je compte me focaliser dans un premier temps.
Célébrer votre histoire et ouvrir avec vous ce chapitre de votre nouvelle vie serait pour moi un grand honneur. Mon objectif est de vous accompagner dans une cérémonie à l’image de votre amour et de votre engagement. Le tout inscrit dans un climat de respect, d’écoute, de partage et de confiance.
Je serai là pour vous guider et vous soutenir dans la création de ce moment qui est le vôtre afin qu’il vous ressemble et soit fidèle à vos envies.
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